Accidente laboral in itinere

L’accident du travail

en cours concerne les accidents subis lors du déplacement au travail ou au retour de celui-ci.

Le fait que l’entreprise doive prendre en charge les frais de la baisse a contribué à ce que cette question soit judiciaire en raison du nombre de arêtes qu’elle a. Dans ce scénario, nous réfléchissons dans le post d’aujourd’hui sur les hypothèses d’indemnisation et sur la jurisprudence actuelle en la matière.

Qu’est-ce qu’un accident du travail en itinere?

La prise en compte des accidents du travail en iténière, en générique, est associée aux accidents sur les trajets en origine sur le lieu de travail ou lorsque l’employé s’y rend. Cette hypothèse est régie par l’article 156 de la loi sur la sécurité sociale.

Distinguer cet aspect d’une éventualité commune,comme pourrait l’être un accident à un moment de loisirs, est fondamental pour déterminer le montant de la prestation d’incapacité temporaire.

En ce qui concerne les accidents du travail, l’accident in itinere est considéré comme un travail et cela implique un certain nombre de caractéristiques.

La plus importante d’entre elles est que le montant de la prestation s’élève à 75 % de la base réglementaire et qu’elle commence à être perçue dès le lendemain de la baisse. En revanche, s’il s’agit d’une maladie d’urgence courante, seulement 60 % serait facturé et commencerait à calculer le quatrième jour.

Bien entendu, il existe également un droit à une indemnisation en cas d’accident du travail in itinera. Si l’on considère un accident du travail, il est évident que celui-ci sera plus important que si l’accident était fortuit, de sorte qu’il est très important de bien déterminer la casuistique.

Réglementation de l’accident du travail en itinere

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L’idée principale de la jurisprudence actuelle sur l’accident du travail in itinere est qu’il faut prouver qu’il a quitté le domicile habituel pour se rendre au lieu de travail ou, par exemple, qu’on n’en est pas encore arrivé là.

Si cette approche est prise à l’extrême, il s’avérera qu’un accident sur le porche du logement ne sera pas considéré comme un accident du travail in itinere, mais comme l’hypothèse que ce même accident provient d’une zone commune d’un immeuble de logements.

Un aspect à prendre en considération est qu’il existe un certain nombre d’éléments, au-delà de la finalité du voyage, qui peuvent influencer pour déterminer si l’accident du travail est considéré comme in itinere ou non.

3 aspects qui déterminent si un accident du travail est en cours

La pertinence du mode de transport choisi

Ce point est fondamental pour qu’il n’y ait aucun problème à déterminer si l’on a droit ou non à la prestation en tant qu’éventualité professionnelle.

Normalement, si l’on opte pour la voiture, les transports en commun ou à pied, il ne devrait y avoir aucun problème, mais il y a des cas où des travailleurs se déplaçaient avec un scooter et qui ont vu leur droit supprimé.

L’accident se produit pendant le trajet vers le lieu de travail

La Cour suprême a déjà indiqué dans son arrêt du 22 avril 1966 la nécessité, au cours de ce voyage, qu’il n’y ait pas de troisième activité qui s’écarte de l’objectif initial d’aller et venir du poste de travail.

Par exemple, une personne qui quitte le travail, va prendre un café et subit une chute sur place, ne peut pas demander les prestations par accident in itinere.

La durée du trajet

L’accident doit être survenu dans le délai raisonnable utilisé chaque jour pour effectuer le déplacement entre le lieu de travail et le domicile.

Par exemple, si l’on prend normalement une heure et que, dans ce cas, le déplacement a été retardé à 3 sans qu’aucune cause de force majeure ne soit négociée, cette hypothèse peut ne pas être incluse.

Ce sont essentiellement les trois hypothèses principales à apprécier pour déterminer si l’accident serait considéré comme un accident du travail in itinere ou non.

Il s’agit, en définitive, d’éviter la picaresque ou la fraude de loi,si courantes lorsque la loi est ambiguë sur certains points.

En outre, il convient

de souligner que la loi sur les indépendants prévoit,

depuis le 26 octobre 2017, la possibilité pour

ce collectif de retenir également les prestations prévues en l’espèce.

. Essentiellement, les conditions sont similaires pour accéder à ce droit.

Conclusion

L’accident du travail in itinere

est l’une des hypothèses prévues par la loi pour garantir les droits des travailleurs en cas d’accident mais, par un libellé ambigu de la loi, la jurisprudence a dû réduire les cas.

Quoi qu’il en soit, et si l’on agit conformément à la loi, il n’y aura pas de problème.

C’est pourquoi il est suggéré de rechercher un conseil professionnel permettant de savoir dans quels cas les prestations découlant de cette problématique peuvent être réclamées.