Doctrine du Tribunal économique et administratif postérieur et contraire à la position de la direction générale des impôts, elle ne peut pas être appliquée rétroactivement, lorsque le contribuable a adapté son comportement au critère préalable repris dans une consultation contraignante.
Effets contraignants d’une consultation lorsqu’il existe un critère nouveau, contraire et ultérieur du Tribunal économique – administratif
Le contribuable présente son autoliquidation de l’IRPF sur la base d’un critère contraignant et réitéré de la direction générale des impôts (DGT), applicable à la date de dépôt de la déclaration.
Le délai de vérification de la déclaration étant en vigueur par l’Agence nationale de l’administration fiscale (AEAT), le Tribunal économique et administratif central (TEAC) rend une décision pour l’unification des critères contraires à ceux établis par la DGT.
L’administration, dans le délai légal de vérification,dicte une liquidation, en appliquant le nouveau critère du TEAC et en régularisant la situation de l’impôt obligé.
Cette liquidation est confirmée par le Tribunal économique et administratif régional qui ne se prononce pas sur les effets temporaires de la consultation appliquée. Disconforme, le contribuable saisit la Haute Cour de justice.
La question juridique en cause est la possibilité pour l’administration d’exercer les pouvoirs de vérification et de liquidation d’un impôt, à la suite de la modification résultant d’un critère fiscal, qui était contraignant pendant la période d’imposition au cours de laquelle la taxe est liquidée.
La Cour, sur la base des principes de sécurité juridique et de protection de la confiance légitime, rejette la possibilité qu’une correction rétroactivepuisse être apportée. Et il précise que le moment à partir duquel la nouvelle jurisprudence ou doctrine administrative s’applique est celui relatif aux périodes postérieures à la date du changement de critère.
Dès lors, sur la base des motifs exposés, le recours litigieux est considéré.
Exemple de demande de réponse à une consultation
Pour pouvoir vous adresser à l’organe concerné et présenter une demande de réponse à toute requête, nous vous laissons un exemple de écrit:
«Don/Doña nom et prénom« , major, avec N.I.F. « numéro« , et domicile, aux fins de notifications, en « rue, numéro, localité, code postal« , agissant…
NOTE: Aux fins du dépôt et de l’apport de documents et de copies, ainsi que de leur validité et de leur efficacité auprès de l’administration, il convient de tenir compte des dispositions de la LPAC articles 27, 28, 53 et 66.3, qui régit le dépôt de mémoires, de documents et de demandes auprès de l’administration, la délivrance de copies et le retour d’originaux.
(Dans chacun des cas correspondants, choisir celui qui convient à notre situation):
- S’il intervient en son propre nom: en son propre nom, il comparaît et, le cas échéant,
- S’il intervient en tant que représentant: représentant:
- Si vous représentez une personne physique: « Don/Doña nom et prénom du représenté« , »état civil« , domicilié à »rue, numéro, localité, code postal du représenté » et N.I.F. »numéro de NIF du représenté« , selon le document ci-joint, dont une copie originale est fournie pour être comparée par le fonctionnaire, apparaît et, le cas échéant,
- Si elle représente une entité : l’entité nommée »nom ou raison sociale« , domicilié à »rue, numéro, localité, code postal de l’entité« , et avec N.I.F. »numéro de NIF de l’entité« , selon le document ci-joint, dont une copie originale est fournie pour être comparée par le fonctionnaire, apparaît et, le cas échéant,
EXPONE
«D’abord. »
NOTE: Faciliter la rubrique de l’IAE à l’administration contribue à fournir une description de l’activité de l’assujetti (technico-juridique-fiscal) qui facilitera le travail d’interprétation du centre de direction, mais, dans l’hypothèse où le doute tournerait précisément sur l’encadrement de l’activité dans l’IAE, une description aussi complète que possible de l’activité à réaliser et de son champ géographique de développement (local) devra être faite. , provincial, régional, multiautonomique ou national).
Que le consultant se consacre à l’activité de« décrire l’activité et son domaine géographique de développement »,encadrée sous la rubrique« numéro de rubrique DE L’IAE »des tarifs de la taxe sur les activités économiques approuvés par le décret royal législatif 1175/1990 du 28 septembre.
«Deuxièmement.»
Qui envisage de réaliser, avant le« jour, mois et année de la fin du délai »,l’opération suivante « décrire en détail l’opération en question ».
«Troisièmement.»
Que, au vu des dispositions de« préciser la règle et la disposition »,on vous pose le doute suivant d’application de cette disposition:« décrire le doute ».
«Quatrième.»
Que, par conséquent, et au titre de l’article 88 de la loi 58/2003, du 17 décembre, General Fiscal (LGT), je viens, par cette lettre, de soulever des consultations sur les questions suivantes:
« Énumérer les questions: 1. Première question, 2. Deuxième question,… etc.« .
«Cinquième.»
Que la présente consultation a été formulée avant l’expiration du délai fixé pour:
- En cas d’exercice d’un droit:
- l’exercice du droit consistant à« décrire le droit visé par la consultation »,
- En cas de présentation d’une déclaration/autoliquidation:
- la présentation de la déclaration d’autoliquidation de la« taxe/s à laquelle se réfère la consultation« ,
- En cas d’exécution d’une obligation fiscale:
- l’exécution de l’obligation fiscale consistantà « décrire l’obligation à laquelle se rapporte la consultation »,
les circonstances, les antécédents et autres données décrits dans la lettre n’ayant pas été modifiés.
«Sixième.»
Que la présente consultation soit formulée à un moment où – elle est en cours de traitement – aucune procédure, recours ou réclamation économique-administrative concernant le régime, la classification ou la qualification fiscale soulevé lors de la consultation n’est en cours de traitement.
Sur le fond,
DEMANDE
- Il convient d’admettre la présente lettre – et les documents qui l’accompagnent et ont pour consultation fiscale, dans les termes décrits ci-dessus.
- Prévoir tout ce qui est nécessaire pour que la réponse appropriée soit libre et que le domicile du consultant figurant dans l’en-tête soit notifié.
Dans« localité, à jour, mois et année ».
Fdo. « nom et prénom du signataire« .
DIRECTION GENERALE DES TAXES DU MINISTÈRE DES FINANCES:
Note:
Dans l’hypothèse la plus générale, le centre directeur devant lequel il convient de poser la consultation sera la DGT. Se référer, dans d’autres cas, à celui compétent en la matière (organe autonome ou foral correspondant).
DIRECTION GÉNÉRALE DES HOMMAGES
SOUS-DIRECTION GÉNÉRALE DE « L’IMPÔT CORRESPONDANT »
DIRECTION GENERALE DES TAXES DE « LA COMMUNAUTÉ AUTONOME CORRESPONDANTE »
Si vous avez des doutes à ce sujet ou si vous avez besoin de précisions supplémentaires, vous pouvez contacter l’un de nos conseillers dans l’un de nos bureaux.
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