Au milieu de la campagne 2016-2017 sur l’impôt sur le revenu, l’Agence fiscale confirme qu’un projet sur trois présenté n’est pas correct et, d’AYCE Consultores, nous avons voulu traiter les 10 erreurs les plus courantes que nous trouvons dans les projets lors de la déclaration IRPF. Erreurs pouvant vous empêcher de bénéficier des réductions et déductions fiscales pertinentes.
Il est essentiel d’accorder une attention particulière à la révision du projet avant sa confirmation,en veillant à ce qu’aucune donnée ne manque ou que les informations que vous avez fournies ne soient pas incorrectes. Il convient de garder à l’esprit que l’AEAT
ne dispose pas de toutes les informations qui figurent dans les projets reçus,car elles sont fournies par des tiers tels qu’une institution financière, une compagnie d’assurance ou la société dans laquelle elle travaille.
La grande majorité de ces erreurs sont généralement étroitement liées aux déductions pour l’achat ou la location d’une propriété, ainsi qu’aux modifications de l’état matrimonial. Certaines erreurs qui, dans la plupart des cas, découlent de la nécessité de facturer dès que possible le retour de la déclaration, ce qui signifie que les projets effectués ne sont pas correctement examinés.
Si vous n’avez pas les connaissances nécessaires ou si vous n’avez tout simplement pas assez de temps pour faire vous-même la déclaration de revenus des particuliers, n’hésitez pas à faire appel aux services d’AYCE Consultores.
Vous serez entre les meilleures mains, profitant des meilleurs résultats à tout moment.
10 erreurs les plus fréquentes dans les brouillons
#1 – État matrimonial
L’une des erreurs les plus fréquentes que nous constatons concerne l’état matrimonial, puisque les changements possibles qui ont pu se produire ne sont pas reflétés dans le projet, cequi pourrait entraîner la perte d’une série de déductions familiales. Cela se produit également avec les décès, les naissances et les situations d’invalidité.
#2 – Individuel ou joint
Lorsque vous faites la déclaration, vous devez décider entre la faire individuellement ou conjointement. L’administration fiscale cochera par défaut la case qu’elle jugera appropriée en fonction des données fournies, mais il est commode d’évaluer quelle est l’option la plus avantageuse dans chaque cas pour l’économie familiale.
Il convient de garder à l’esprit qu’en cas de séparation ou de divorce, la pension alimentaire compensatoire entre époux et l’entretien des enfants, le cas échéant, doivent également être pris en compte.
#3 – Déductions pour l’achat d’une maison
Bien que la déduction pour l’achat d’une résidence habituelle ait disparu pour les maisons acquises en date du 1er janvier 2013, toutes celles qui ont été achetées avant cette date continuent d’avoir une déduction et doivent être consignées dans la déclaration. Il est nécessaire de vérifier que la dépense pour le prêt hypothécaire apparaît ainsi que que le montant est correct.
#4 – Déductions pour le loyer
En ce qui concerne la déduction pour la location d’un logement, il faut faire attention à la date de début du contrat de location du bien pour pouvoir bénéficier jusqu’à 909 euros maximum pour la déduction de bail de l’État.
La déduction de l’État ne touche que les contribuables qui ont signé leur bail après le 1er janvier 2015, alors que si le contrat est antérieur à cette date, jusqu’à 10,05% du montant peut être déduit, à condition qu’il ait une base imposable inférieure à 24 107,20 euros par an.
#5 – Propriétés vides
En cas d’avoir une maison ou un local vide, il faut tenir compte du fait qu’ils génèrent l’imputation de revenus immobiliers, ou ce qui est la même chose, un pourcentage de la valeur cadastrale des propriétés. Vous devez faire attention à savoir si ces imputations n’ont pas de faute, car il est habituel que l’agence fiscale inclue automatiquement les propriétés qui n’appartiennent plus à votre propriété.
#6 – Déductions autonomes
La grande majorité des contribuables ignorent l’existence de déductions régionales, alors que celles-ci peuvent générer des avantages importants au niveau de l’impôt. Ces déductions sont généralement liées aux coûts d’enseignement ou d’études.
#7 – Dons aux ONG et affiliations à des partis politiques
Un autre des échecs les plus courants que nous constatons est lié aux déductions pour les dons aux ONG et les affiliations à des partis politiques, qui, dans de nombreux cas, ne sont pas incluses dans la déclaration.
#8 – Régime de retraite
Il est nécessaire de s’assurer que les données fournies par la société chargée de la gestion du régime de retraite à l’administration fiscale sont correctes. Il convient de prêter attention aux réductions éventuelles approuvées pour la retraite, l’invalidité, la dépendance, la maladie ou le chômage.
#9 – Gains en capital
Il est habituel de ne pas inclure dans le projet les plus-values,devant faire face plus tard à la sanction pertinente de l’AEAT. Ces plus-values proviennent généralement de la vente de biens immobiliers ou de différentes aides ou subventions officielles.
#10 – Performance au travail
En ce qui concerne la performance au travail, il convient de vérifier les revenus qui ne figurent pas dans le projet, tels que la perception d’une pension par un pays étranger. Dans la plupart des cas, l’AEAT ne dispose pas de ces données, mais il est toujours obligatoire de les inclure dans l’impôt sur le revenu des particuliers en tant que performance au travail.
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